Ça parle de déficit public en ce moment.
À noter que cette différence comptable est encore plus violente pour les États-Unis : là-bas même leur équivalent du minimum vieillesse est considéré comme une dette, et les calculs les plus optimistes ne permettent pas d’affirmer que les montants nominaux sont payables, la dévaluation de leur monnaie ou le défaut sur la dette s’imposent comme alternatives de plus en plus réalistes.
On ne peut pas prédire exactement ce qui se passera dans quelques années quand le nombre d’actifs aura encore diminué et que les caisses de l’État français seront encore plus mises à mal, mais rien ne présage une solution plus vivable que ce qui se profile à l’horizon en Amérique du Nord.
Merci pour le partage.
On oublie effectivement tous les engagements hors bilan qui vont plomber les prochains budgets : 2 200 milliards d’euros ce n’est pas rien, dont 75 de prêts au titre de PGE pour lesquels les défauts de paiement commencent à tomber…