J’ai travaillé avec des « enfants gâtés » sous la forme de conducteurs de manœuvres pour un atelier du métro. Même genre de réflexion sur la fin des services car ils disparaissaient tellement tôt qu’on se retrouvait sans personne pour bouger les rames terminées ou à réparer… Ça plus le fait qu’ils partaient à la retraite à 52 ans à taux plein avec une retraite calculée sur les six derniers mois de salaire. Tant mieux pour eux, en tout cas ils sont pas à plaindre.
J’ai travaillé avec des « enfants gâtés » sous la forme de conducteurs de manœuvres pour un atelier du métro. Même genre de réflexion sur la fin des services car ils disparaissaient tellement tôt qu’on se retrouvait sans personne pour bouger les rames terminées ou à réparer… Ça plus le fait qu’ils partaient à la retraite à 52 ans à taux plein avec une retraite calculée sur les six derniers mois de salaire. Tant mieux pour eux, en tout cas ils sont pas à plaindre.