• Ziggurat@sh.itjust.works
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    6
    ·
    1 year ago

    C’est une surprise que ce soit le recrutement la communication puis le marketing les premiers à morfler en cas de crise ?

      • Ziggurat@sh.itjust.works
        link
        fedilink
        Français
        arrow-up
        2
        ·
        1 year ago

        La R&D s’en sort un peu moins mal, tu as d’un côté des vieux experts qui font la valeur de ta boîte et qu’il faut garder et de l’autre il y a tout les projets qui font gagner de l’argent (j’ai traîné dans un projet R&D d’optimisation des maintenances et pièces de remplacements, je recommande pas mais j’ai rapporté des centaines de milliers d’euro voire plus d’ un million à mon employeur) Enfin il y a toujours le truc vendu que demande de la R&D et il faut le livrer

  • Sphks@lemmy.dbzer0.comOP
    link
    fedilink
    arrow-up
    2
    ·
    1 year ago

    Conclusion intéressante :

    Selon Connie Wanberg, il faut être conscient que “le plus grand nombre d’offres d’emploi est offert par les industries employant des travailleurs manuels. Nous avons maintenant des sections de l’économie où il y a de graves pénuries de talents, et d’autres où il y en a une surabondance.” Selon la BBC, qui évoque des “travailleurs au purgatoire”, la seule solution est d’être patient et de se réinventer.

  • RockDeBilly@lemmy.world
    link
    fedilink
    arrow-up
    2
    ·
    1 year ago

    Pour la comm’, je sais pas, mais le recrutement c’est pas surprenant. Dans ma boite (startup tech US), les licenciements de cette année ont inclus la totalité du pôle recrutement, et se sont accompagnés d’un gel des embauches. Ça va repartir, mais clairement c’est pas la meilleure période pour être sur le marché de l’emploi.

    • Camus (il, lui)@jlai.lu
      link
      fedilink
      arrow-up
      2
      ·
      1 year ago

      Le recrutement, surtout dans la tech, j’ai l’impression que c’est toujours la croix et la bannière pour que les recruteurs fassent leur boulot, et tiennent compte des contraintes à la fois pour les candidats et l’équipe qui recherche.

      J’ai déjà eu un candidat qui a passé une interview à 7h du mat’ heure locale, les recruteurs lui avaient filé ce créneau-là alors qu’ils connaissaient pertinemment son fuseau horaire…